CHUT!

Ça, c’est le signe universel de garder le silence. ↑↑↑

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Ça veut aussi dire de garder des choses confidentielles, comme des secrets et autres informations sensibles, autant provenant de vos ami.e.s que de l’entreprise ou de tierces parties.

Déjà, dans le domaine de l’emploi, le Code civil du Québec traite de l’importance de la confidentialité.

Le salarié, outre qu’il est tenu d’exécuter son travail avec prudence et diligence, doit agir avec loyauté et honnêteté et ne pas faire usage de l’information à caractère confidentiel qu’il obtient dans l’exécution ou à l’occasion de son travail.

Ce n’est donc pas une surprise qu’au sein de la grande majorité des ententes contractuelles on retrouve une clause de confidentialité, aussi parfois nommée NDA (Non-Disclosure Agreement). Elle sert à protéger les informations sensibles et établir des paramètres de divulgation. Et elle n’est pas seulement importante dans le cadre de transactions commerciales mais aussi dans la gestion de renseignements personnels (Pensez à la Loi 25!) et dans la protection des secrets commerciaux (voir notre entrée de blogue).

Malgré sa mission de protéger les renseignements sensibles, une clause de confidentialité doit aussi être raisonnable dans son application. Par exemple, vous ne pouvez pas restreindre ou être restreint.e à ne pas divulguer des informations connues du public ou dont la divulgation est requise en vertu d’une loi.

Pas simple? Voici quelques trucs pour aider dans votre protection de vos renseignements personnels:

  • lors de toute transmission d’information confidentielle, ajouter la mention « CONFIDENTIEL »;
  • mettez en place une politique de confidentialité pour vos employé.e.s et collaborateur.trice.s; et
  • limitez l’accès à l’information à celles et ceux qui doivent la connaître.

Besoin d’aide pour protéger vos informations sensibles? Communiquez avec nous, on peut vous aider!

 

Photo par Kristina Flour

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